Organisée du 9 au 20 mai en Côte d’Ivoire, la COP15 sera un moment crucial à l’heure où 40 % des terres du globe sont dégradées. Une situation qui affecte 4 milliards de personnes et devrait coûter 23 000 milliards de dollars d’ici à 2050.
Multiplication des feux, séquestration du CO₂ en baisse, intensification de l’érosion, baisse de la fertilité des parcelles agricoles… La déforestation et l’épuisement des sols sont synonymes de pauvreté, de précarité alimentaire, de propagation à l’homme de nouvelles maladies infectieuses, de migrations et de conflits. La dévastation des écosystèmes et l’instabilité sociale et économique étant plus que jamais liées, nul ne peut désormais minimiser ces menaces. Suite de l’actualité sur Jeune Afrique